J’ignore ce qu’ils ont fumé, les concepteurs de ce panneau1 de signalisation, mais c’était de la bonne. De la très bonne. Les huiles qui ont réfléchi, dessiné puis conçu ce machin. Ode à la contemplation, au voyage absurde, à la méditation. J’imagine la tête des bougres qui ont installé la chose. Le premier : tu comprends, toi, où il faut aller et par où ? Le deuxième : je ne sais pas, mais je sais où le planter ce panneau…
1 Le panneau de signalisation photographié en 2012 a rejoint le cimetière des panneaux obsolètes
billet publié sur des fraises et de la tendresse en avril 2012