Deux fleurs et une vue sur la ville

Deux fleurs et une vue sur la ville

Photo recto 👆

C’est un jeudi de novembre sous un soleil généreux qui inonde Marseille. Vue sur la ville à hauteur de jardinière. À l’horizon, le massif Saint-Cyr derrière lequel s’étend le Parc national des Calanques. Une succulente dont j’ignore le nom (je vais probablement faire appel à l’appli PlantNet), des feuilles en forme de doigts d’alien (en supposant que les extraterrestres soient pourvus de doigts). Je digresse : ça me fait penser aux PP du roman Invasion(1) de Luke Rhinehart (vous connaissez ? c’est farfelu, politique, drôle, chtarbé, des créatures étranges à bord d’un yacht baptisé 11-100-FOU). Retour à la succulente, la petite colonie de doigts au pied du cactus. En six ans, c’est la première fois qu’elle nous gratifie de fleurs.

J’ai fait appel à PlantNet. Il s’agit de Fenestraria rhopalophylla. Fenestraria (plante à fenêtre).

Photo verso 👇


(1) Si vous le lisez ou l’avez lu, suis curieux d’avoir votre retour. Ok pour la satire, la farce. Parfois drôle. Beaucoup trop long, répétitif, bavard, interminable.

Commentaires

    • Merci pour le lien. Une amie m’avait parlé de ce roman devenu culte. Je ne l’ai toujours pas lu. Tu vas voir, Invasion, c’est… très spécial 🤭

      • Tu n’avais pas oublié de mettre le titre dans ton post justement ?? ^^’

    • J’ai mis à jour le billet. Une note très très courte pour dire que le roman de Luke Rhinehart m’a paru interminable.

  1. « en supposant que les extraterrestres soient pourvus de doigts » bah oui forcément, les doigts sont une création de la nature pour exploiter des outils, et pour avoir du savoir pratique, une créature a besoin de doigts… c’est pour ça que dans mon livre tous les aliens sont des humanoïdes à doigts.

    • J’attends de voir de mes yeux vu des aliens pour affirmer qu’ils ont bien des doigts. Dans le roman Invasion, ils n’ont ni pieds ni doigts, ni yeux, ni bouche, ni jambes ni bras. Je te le conseille, il est très drôle.

      • J’ai mis à jour le billet. Une note très très courte pour dire que le roman de Luke Rhinehart m’a paru interminable.

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