J’ai lu chez Matoo qu’il était temps de participer à Inktober*. Au départ, c’est un défi lancé sur les réseaux sociaux. Il s’agit de dessiner sur un thème. Autour d’un mot, chaque jour. Comme je suis aussi bon en dessin qu’en déhanché pour le hula-hoop, j’ai adhéré à la version écrite du défi. En 2020. Sur la liste des 31 mots, j’ai 3 idées, 3 pauvres idées. Je sens que je vais torturer dame inspiration et vous pondre des billets comme je les aime : courts !
C’est avec sac à dos que je commence le jeu.
J’ai plusieurs sacs à dos, certains plus pratiques que d’autres, certains à la cave, d’autres dans le cafoutche. Un pour le boulot dans lequel je loge le PC de l’employeur. PC qui voyage entre le bureau et le domicile quand je bouquine vautré sur le canapé télétravaille. Un plus léger pour y ranger quelques bricoles utiles lorsque je « vais en ville ». J’y ai épinglé un pin’s aux couleurs de l’arc-en-ciel et frappé du slogan : « merci pour ce monde de merde » à l’attention de qui se sent concerné derrière moi dans la file d’attente au supermarché.
Vous remarquerez sur la photo qui illustre ce billet le tote bag calligraphié par Fanny pour « Une nonnette au miel des petites choses », le recueil des billets de blog que je destinais à la publication, autrefois. Et que vous pourrez lire ici 👈 si le cœur vous en dit. Si vous ne les avez pas déjà lus. Ou que je ne vous ai pas sollicités mille fois.
Le mot de demain ? Découvrir.
* IWAK en fait. Inktober with a keyboard, EncrOctobre avec un clavier 😉