Goûte mes frites. C’est une chanson de Valérie Lemercier(1), extraite de son album sorti en 1996. C’est sur cet air que j’écris ce minuscule billet plein d’inspiration (non) pour vous présenter ma dernière trouvaille (cf. vidéo ci-après). Sur le canapé, au milieu de coussins emojis trône un sachet de frites en peluche.
Sans rapport avec les frites, j’attends la réaction de mes collègues face à ma facétie(2) Dans le bureau que je partage avec eux, j’ai décroché les panneaux représentant une vue de New-York en cinq tranches. J’ai raccroché chacun des panneaux à l’envers. Tant(3), ils ne s’apercevront de rien.
Le jour du « bloquons-tout », pas loin de chez moi, sur la chaussée, des containers renversés sur la chaussée dégueulent des sacs poubelles éventrés, du bris de verre qui ralentit la circulation. Interloquée, une dame s’exclame : Comment ça se fait qu’ils sont tombés les containers ? Comme je n’ai pas le sens de la répartie, je n’ai pas répondu : C’est à cause du mistral, madame.
(1) Impatient d’aller l’applaudir au Théâtre Marigny en décembre 😍
(2) Allitération
(3) Expression marseillaise. Tant virgule : si ça se trouve…
J’aime bien l’idée du décodeur pour les nul·le·s. Et celle du mistral qui culbute les containers.
Il faudrait une tornade pour les culbuter ou des lycées motivés (chaque fois qu’il y a des mouvements sociaux ++, ces poubelles en font les frais, le lycée est pile à côté).
Ah ah énorme ce coussin 🍟 ! Ce canapé est officiellement the place to be… Ici dans le Nord, on dit toujours “la frite c’est la fête” 🎉 … alors avec ton canapé rempli d’emojis, ça doit être carrément le carnaval à Marseille 😄
J’aurais dû en prendre 2 de ces sachets de frites en peluche ! Les frites, c’est la vie 🥰
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