Une roue, un musée, un fleuve, un canard

Une roue, un musée, un fleuve, un canard
une roue, un musée, un fleuve

J’ai tout prévu, TOUT anticipé. Sauf une chose : il n’y a pas de métro avant 5:30 🤣 Pour quelqu’un qui a longtemps vécu à Paris, c’est ballot. De zapper un détail aussi crucial. Comme tout allait comme sur des roulettes, y compris ma valise cabine, je ne m’enquiers du meilleur itinéraire (horaires, temps d’attente, etc.) sur l’app Bonjour RATP qu’à 4:45 alors que j’attends l’ascenseur qui allait me cracher à la réception de l’hôtel. L’application ne me propose que des noctiliens : 1 kilomètre à pied + un bus de nuit + le dédale Gare de Lyon. Ma comprennette n’est pas encore caféinée (bar et pdj ne sont opérationnels qu’à 7:00). Je ne. Euh. Gné ? Bruits de méninges rouillées qui calculent le temps qu’il me faut pour gagner la gare à pinces ou à dos de pigeon…

Suspense. Roulements de tambour. Ellipse. Le réceptionniste m’a commandé un taxi. J’écris ce billet arrivé à bon port. J’ai pu attraper mon Ouigo à 24€… en me délestant de 30,80€ pour le taxi 😱

Sans transition, quelques photos piochées dans mon album Paris 12 2025 👇

une maison dans le 20e près de la place Gambetta
La femme au bonnet vert devant le Pick-Clops
Un canard en mosaïque, rue de la Verrerie, 4e
La mosaïque de M. Le Corre dans son ensemble, rue de la Verrerie, 4e
des humains peints et un chien saucisse, villa Stendhal, 20e
rue des Petits-Carreaux dans le 2e arrondissement
un homme suit un pigeon devant Tintin et le Capitaine Hadock occupés (œuvre de Combo)

Si mes deux autres billets parisiens ont échappé à votre sagacité, les voici : les Parisiens sont gentils (si, si) et Purée !


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