Et au milieu coule la Dordogne

Sur la longue longue route qui me conduit de Marseille à la campagne angoumoisine où vit ma sœur, je fais de fréquentes pauses, j’emprunte parfois des chemins de traverse (un détour par le Lot, j’y ai fait des photos de Montcuq). Puis une escale chez mon amie Babby, près de Bergerac. Toujours de doux moments partagés, et des rires parce que le monde est trop cafardeux pour ne pas l’émailler de joie. Une balade en bord de rivière, un arc-en-ciel, un impressionnant vol de grues très haut dans le ciel.

Sans rapport avec les moules frites et le pichet de vin à 5 balles partagés samedi avec mes amis dans ce chouette lieu associatif au trou du cul du Périgord, je donne ici des nouvelles, en creux, pour les ami·e·s qui s’interrogent : Laurent n’est plus sur Facebook ? Ni sur Instagram, Whatsapp ou Threads (j’ai quitté Meta). Je n’ai pas encore écrit de lettres (de quand date ma lettre écrite la plus récente ? du siècle dernier ?) mais j’envoie des cartes postales, écris des SMS, réponds au téléphone.